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Liste complète des CSH

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Année: Num.: Architecte(s): Surf.: Construit: Materiaux: Adresse: Plan (Cliquer sur l’image)
1945 #11 (#1)* J.R. Davidson 167 m² N Ossature Bois
Eléments de Sapin / Plâtre
540, South Barrington Avenue West
Los Angeles
1945 #4 Ralph Rapson 167 m² N Ossature Bois ou Métal
Panneaux Standardidés
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1945 #5 Whitney R. Smith 167m² N Ossature Métal
Brique
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1945 #6 Richard Neutra 167 m² N Ossature Bois
Panneaux ondulés en ciment
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1946 #1 (#11*) JR. Davidson 102 m² O Ossature Bois
Eléments de Sapin / Plâtre
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1946 #12 Whitney R. Smith 153 m² N Ossature Bois
Plâtre, Lattes de bois
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1946 #13 Richard Neutra 167 m² N
1947 #10 Nomland and Nomland 176 m² O Ossature Bois
Panneaux de Contre-Plaqué
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1947 #15 JR. Davidson 102 m² O Ossature Bois
Eléments de Sapin / Plâtre
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1947 #16* Rodney A. Walker 185 m² O Ossature Bois
Brique & Panneaux de contre-plaqué
1947 #17* Rodney A. Walker O
1947 #2 Spaulding and Rex 167 m² O Ossature Bois
Panneaux de Contre-Plaqué
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1947 #21 * Richard Neutra 185 m² N
1948 #18* Rodney A. Walker 148 m² O Ossature Bois
Panneaux de Contre-Plaqué
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1948 #20* Richard Neutra 116 m² O Ossature Bois
Eléments de Séquoia / Plâtre
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1948 #7 Thornton M. AbelI 167 m² O Blocs de Béton x
1949 #3 Wurster and Bernardi 167 m² O Ossature Bois
Elements d’Aluminium
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1949 #8 Charles Eames 139 m² + 92 m² O Ossature Métal
Panneaux Acier / Plâtre
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1949 #9 Eames and Saarinen 148 m² O Ossature Métal
Panneaux Acier
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1950 CSH Raphael Soriano 148 m² O Ossature Métal
Plâtre et Panneaux de Verre Ondulé
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1952 #16* Craig Ellwood 148 m² O Ossature Métal
Briques, Plâtre
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1955 #17* Craig Ellwood 306 m² O Ossature Métal
Briques, Eléments de Sapin
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1956 #19 Don Knorr 213 m² N Ossature Métal & Brique
Panneau en bois
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1957 #18* Craig Ellwood 213 m² O Ossature Métal
Panneaux de Contre-Plaqué
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1958 #20* Buff, Straub and Hensman 167 m² O Ossature Bois
Panneaux de Contre-Plaqué
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1958 #21 * Pierre Koenig 122 m² O Ossature Métal
Panneaux Acier
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1959 #22 Pierre Koenig 213 m² O Ossature Métal
Panneaux Acier
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1960 #23 House A Killingsworth, Brady and Smith 253 m² O Ossature Bois
Panneau de Sequoia
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1960 #23 House B Killingsworth, Brady and Smith 209 m² O Ossature Bois
Panneaux de Pin
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1960 #23 House C Killingsworth, Brady and Smith 206 m² O Ossature Bois
Panneaux de Pin
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1961 #24 Jones and Emmons 162 m² N Ossature Bois
Panneaux de Contre-Plaqué
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1963 #25 Killingsworth, Brady and Smith 185 m² O Ossature Bois
Plâtre
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1963 #26 Killingsworth, Brady and Smith 306 m² N Ossature Béton préfa
Panneaux de Beton Poli
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1963 #27 Campbell and Wong N
1964 Case Study Apartments #2 Killingsworth, Brady and Associates N
1945 #5 Whitney R. Smith 167 m² N
1963 #26 David Thorne O
1964 Case Study Apartments #1 Alfred M. Beadle O
1966 #28 Buff, Hensman and Associates O

Case Study House Program, Problématiques et solutions – Partition, composition et hiérarchie

Partition :

Du public au privée…

  • De manière systématique les Case Study Houses adoptent une attitude de protection vis-à-vis de la rue ou du domaine public.
  • A chaque fois, elles refusent toute orientation sur la rue et lui tourne le dos systématiquement.
  • Le côté de la maison donnant sur la rue est, généralement, complètement aveugle. Les villas refusent tout effet d’ouverture et de paraître sur la rue : en ce sens, elles n’ont pas de façade.
  • Les villas sont souvent séparées du domaine public par un jardin arrière.
  • La ligne de partage entre l’espace public et l’intérieur de la maison est toujours clairement dessinée.
  • Cette ligne de séparation marquant la limite entre l’intérieur et l’extérieur de la maison ne correspond jamais de bout en bout avec la limite physique délimitant espaces intérieurs et extérieurs de la maison. Ainsi, certains espaces extérieurs peuvent se retrouver retourner vers l’intérieur de la maison (formant ainsi des cours, patios etc…), d’autres peuvent être rejetés vers l’extérieur bien que couvert ( comme les porches par exemple). Cette question sera approfondie à propos de la “ diversité spatiale ”.

L’individuel et le partagé…

  • Cette partition est elle aussi systématiquement établie dans les CSH.
  • Usuelle, cette partition n’est pas dans le cas des Case Study Houses, traitée comme une véritable séparation jour – nuit ; mais plutôt comme une limite séparant les espaces de convivialité, de vie sociale, des espaces individuels et de vie personnelle.
  • Cette partition est exprimée de différentes manières. La distribution et la typologie du projet sont utilisées pour établir une distinction claire entre ces espaces. La limite entre ces deux types d’espace est généralement traitée de manière radicalement différente de celle entre le public et le privée. Cette limite n’est pas, le plus souvent, traitée comme une ligne de partage fine et opaque mais plutôt par l’intermédiaire d’espaces tampons intérieurs ou extérieurs.

Exemples : CSH #3 de Wurster & Bernadi, #4 de Rapson, #20 de Neutra

Equipements fonctionnels et espaces de vie…

  • Cette partition est similaire mais différente d’une partition de type servant – servi.
  • Cette organisation entre les équipements fonctionnels et les espaces de vie sont généralement traités par les Case Study Houses différemment d’une partition spatiale habituelle. Car elle ne désigne pas une ligne de partage entre deux types d’espace mais plutôt entre ce qui est de l’ordre de l’espace et ce qui de l’ordre de la fonction. Il s’agit donc finalement d’une partition distinguant ce qui est de l’ordre de l’espace de ce qui ne l’est pas.
  • Ainsi les services sont traités ici le plus souvent de manière complètement minimum et condensée. Ce sont soit des noyaux denses et opaques, soit ils prennent dans l’espace un statut complètement flottant et mobilier.

Exemples : CSH #22 de Koenig, #16 de Ellwood,

Protégé ou Exposé…

  • Cette partition désigne les espaces selon leurs relations avec l’extérieur.
  • Elle distingue les espaces ouverts vers l’extérieur des espaces protégés et en repli.
  • C’est une désignation radicalement différente de la limite physique entre espaces extérieurs et intérieurs.
  • Cette partition n’est pas systématiquement traitée dans toutes les Case Study Houses. Les espaces protégés se dispose le long de la limite privée – public.
  • Elle permet ainsi de créer une organisation typique dans les Case Study Houses s’appuyant sur la succession des espaces: Rue / Espaces extérieurs / Espaces protégés / Espaces exposés / Environnement.

Exemples : CSH #22 de Koenig, #20 de Buff Straub et Hensman, #16 de Ellwood

Composition:

Trame :

  • Les Case Study Houses sont issu majoritairement d’une composition tramée.
  • La trame n’est pas utilisée comme un outil systématique et contraignant. Elle désigne une démarche. Au lieu de partir d’une forme qui est décomposée créant des symétries, des axes, des inversions, le travail se fait plutôt dans une logique additive autour d’éléments structurant le projet.
  • La trame est résiliante, elle se répand sans fin. Elle est égalitaire, ne favorise aucun point à priori, aucune convergence.
  • La trame est ponctuelle et répétitive. Ce système appliqué à la structure donne l’ossature. Toutes les Case Study Houses utilisent un système structurel à ossature.

Exemples : Tout les CSH / Contre-exemple : Eames & Saarinen

  • La trame favorise l’usage de modules.

Axes :

  • Dans la plupart des cas, la composition des villas se structurent sur autour d’un ou deux axes.
  • L’ensemble des espaces viennent s’articuler sur ces axes en s’y accrochant.
  • Ces axes de composition portent ensuite généralement les circulations. Mais ceci se fait de manière complètement implicite car le plus souvent dans les Case Studies, les circulations ne sont pas caractérisées, l’espace étant travaillé de manière complètement fluide et en continuité.
  • Il est à remarquer que dans la plupart des cas les villas sont de plein pied. Ainsi l’ensemble de ces partitions ne sont marquées que dans un plan et la composition des villas se fait de manière complètement horizontale.

Exemple : CSH #16 Ellwood, #18 Ellwood, #24 Jones & Emmons / Contre-exemple : Koenig

Case Study House Program, Problématiques et solutions – Espaces et diversité spatiale

Continuité :

La continuité est une thématique largement exploitée dans les Case Study Houses. Elle peut-être de deux types: continuité des espaces de vie et continuité entre espaces intérieurs et extérieurs.

Continuité des espaces de vie

  • La partition entre les espaces communs de vie et les espaces individuels ayant été clairement définie, on constate que dans la plupart des cas les espaces communs ne sont traités et vécus que comme un seul et même espace. Cette unicité leur confère une grande convivialité.
  • Cette continuité spatiale ne passe pas forcément par une transparence complète de l’espace mais plutôt par le traitement de sa fluidité.
  • Ainsi paradoxalement, dans les Cases Study Houses, l’enjeu du traitement des espaces de vie consiste à réussir à les occuper et à les qualifier tout en leur conservant une complète fluidité.
  • Dans la majorité des cas, l’espace est occupé par des objets qui sont généralement les différents services ou équipements : la cheminée, les éléments de cuisine, les éléments de rangement etc… Ces objets adoptent une position complètement flottante dans l’espace. Parfois suspendus, ils ne touchent pas le plafond ou les limites de l’espace. Même s’il sont inamovibles, il leur est conféré le statut de mobilier. Leurs positions permettent de structurer de manière informelle l’espace délimitant : circulations, séjour, salle de séjour etc…

Exemple : CSH #22 de Koenig, #18 de Ellwood

Continuité entre espaces intérieurs et extérieurs

  • Systématiquement, les espaces des villas sont travaillés de manière à rendre incertaine, à gommer voir même à désintégrer totalement la limite entre intérieur et extérieur.
  • Cette continuité est obtenue par différents traitements. On y parvient grâce au traitement de la matière bien sur, mais aussi par différents traitements spatiaux.
  • La plupart du temps elle consiste en la création d’espaces aux statuts complètement ambigüs et inattendus : pièces extérieures ou jardins intérieurs, cours… Ces espaces possèdent généralement une qualité spatiale et d’usage hors du commun.

Exemple : CSH de Soriano, #25 de Killingworth, #21 de Koenig etc…

Couvert & découvert, clos & non clos :

L’utilisation systématique d’une structure à ossature autorise une dissociation absolue des différents éléments composants la villa. La toiture, la clôture et la structure peuvent fonctionner de manière complètement indépendante les unes des autres. Les architectes du programme font usage de cette liberté de manière radicalement nouvelle et originale. Ils se distinguent sur ce point complètement des architectes européens de la même époque qui ont pris l’habitude de la traiter autrement.

Une toiture flottante…

  • La toiture est le plus souvent l’élément premier des Case Study Houses.
  • Elle existe par elle-même comme un élément unique et indépendant. Si le système à ossature permet un système de panneaux modulaires, la toiture reste monolithe. Elle est le plus souvent l’élément unificateur du projet.
  • Alors que la forme des villas peut-être très découpés, la toiture garde en général une forme et une géométrie simple, elle est systématiquement plate. Cette dalle plate peut-être cependant percée à certains endroits, permettant ainsi d’amener ponctuellement la lumière.
  • Son indépendance et son importance sont soulignées de différentes manières. Cela peut-être fait par l’utilisation des matiéres . Elle peut-être également soulignée par de grandes avancées au dehors. Ces avancés atténuent la perception que l’on a de la façade. Cela est d’autant plus vrai que la toiture des Case Study Houses sont en général très prés du sol, les villas étants de plein pied. Enfin, il est fait un grand usage des ouvertures en imposte renforçant encore cet effet de décollement et d’indépendance de la toiture.

Exemple : CSH #16 de Ellwood , #22 de Koenig. / Contre exemple : #20 Buff, Straub & Hensman.

Une structure qui rythme et libère

  • Néanmoins, la clôture légère et libéré est utilisée ici de manière tout à fait originale. L’usage qui est fait ici de la clôture s’oppose à une vision européenne (Corbuséenne…). Cette dernière traite la clôture libérée de la structure en la détachant tout en restant un élément dur. Elle vient librement séparer les espaces entre les points structuraux.

Des clôtures comme des écrans…

  • Si la toiture est conçue comme un élément complètement plat et monolithe, les système de clôture, au contraire est toujours totalement libre et léger.
  • Les clôtures sont traitées ici comme des écrans. Légers, ils se suspendent ou s’accrochent à la structure. Ils viennent ainsi occulter de manière partielle ou totale les espaces.
  • Ces clôtures sont hétérogènes et dissociées.
  • Hétérogènes, car les Case Study Houses travaillent sur tout un panel variable d’écrans. Ce panel a une multitude de qualités de matières et d’espaces : opaque, translucide, textile, lisse, texturé etc…
  • Dissociées, car la clôture des villas peut s’effeuiller en plusieurs couches portant chacune une qualité de clôture : clôture climatique ne coïncidant pas forcément avec la clôture visuelle ou lumineuse etc…
  • La dissociation toiture – clôture est la source de toute la richesse spatiale des Case Study Houses. La maison s’étend toujours par une multitude d’espaces aux qualités spatiales multiples et différentes. Ces espaces sont qualifiés dans leur usages, par les partitions du projet et structurer par sa composition.

Case Study House Program, Problématiques et solutions – Rapport au site

On peut distinguer trois types de rapports au site et à l’environnement développés dans les Case Study Houses. Ces trois genres de rapports sont généralement complètement dissociés. Chacun des rapports correspond à une échelle, à une distance particulière établie entre le site et la villa. Ce sont: l’environnement rentrant dans la maison, en relation directe et intérieure avec la maison; l’environnement immédiat et en relation directe et extérieure avec la villa; enfin l’environnement lointain, le paysage. Ellwood illustre parfaitement ces trois types de relation à l’environnement dans le plan de sa Case Study House #16, où il désigne et distingue: la “child court”, la “living terrace” et la “view terrace”.

L’environnement «intérieur»: la cours et le patio

Les Case Study Houses viennent systématiquement s’implanter de manière légère dans le site. Toujours posés, ou légèrement en suspends au-dessus du sol, leurs implantations ne nécessitent jamais d’excavations lourdes. Ce type d’implantation induit un impact minimum sur le sol. Ceci est parfaitement illustré par la Case Study House #21 de Koenig, dont on voit la structure ci-joint.
Cette méthode d’implantation autorise tout naturellement une multitude de jeux avec le site. Spontanément, peut émerger dans la maison le sol naturel resté intouché et faire pénétrer la nature au cœur de la maison. Il est ainsi fait largement usage dans les Case Study Houses de patios et d’espaces extérieurs-intérieurs. Les villas du Case Study House sont donc posées dans le site mais contrairement au villa du mouvement moderne c’est pour s’y fondre.

L’environnement proche: l’importance du jardin

Les villas du Case Study Program s’implantent la plupart du temps dans des quartiers résidentiels de banlieues. Elles occupent donc généralement un terrain limité dont elles ne peuvent pourtant occuper les limites. Le travail des concepteurs du Case Study House program consiste donc à limiter et à qualifier ce lieu généralement indifférencié et difforme qui s’inscrit entre les limites du terrain et celles de la maison. Le jardin est alors traité soit comme une zone tampon, venant créer une distance entre l’espace public et celui de la maison, soit véritablement comme une prolongation de l’espace de vie. Les architectes des Case Study Houses arrivent à qualifier ces espaces par une multitude de traitements originaux. Il s’agit, par exemple, des traitements des extensions et des murs extérieurs. Ce traitement peut se faire de manière complètement novatrice : comme par exemple dans l’utilisation de panneaux translucides par Ellwood ou Killingworth.

L’environnement lointain, le paysage:

Les Case Study Houses se situent souvent dans des sites bénéficiants de vues privilégiées. Ces sites correspondent aux quartiers résidentiels en hauteur dans les collines environnants les grandes villes californiennes. La villa #22 de Koenig en est l’archétype. Quand ils bénéficient de telles possibilités, les architectes du Case Study Program traitent généralement les espaces de leurs villas de telle façon à créer un cadrage du paysage. C’est à dire que les espaces sont travaillés de manière à gommer voir occulter l’environnement immédiat pour créer une relation directe entre l’intérieur de la villa et le paysage. Ce traitement crée une sensation de flottement totale de la villa sur le paysage. Ils engendrent une continuité singulière entre ces espaces lointains et l’espace intérieur de la villa. Ceci est particulièrement sensible dans les réalisations de Ellwood et Koenig.

Case Study House Program: Références

Liste d’ouvrages:

  • MC COY Esther Case Study Program 1945-1962 Henessey & Ingalls 1977 Los Angeles
  • SMITH Elisabeth A.T. Blueprints for Modern Living: History and Legacy of the Case Study Houses MIT Press 1998
  • STEELE James, JENKINS David, KOENIG Pierre Pierre Koenig Phaidon Press 1998
  • MC COY Esther, BLAKE Peter Craig Ellwood Architecture Hennessey & Ingalls 1997
  • ALBRECHT D. The Work of Charles & Ray Eames
  • COLOMINA Béatrice The Work of Charles and Ray Eames, A Legacy of invention 1997
  • STEELE James Eames House, Charles and Ray Eames Architecture in Detail Phaidon 1995
  • HINES Thomas S. Richard Neutra and Search for Modern Architecture University California Press 1994
  • MC LAMPRECHT Barbara Richard Neutra Complete Works Taashen 2000
  • SACK M. Richard Neutra Gustavo Gili 1994 Barcelone

Liste d’articles:

  • Baboulet, Luc; “Le Case Study Program et la tradition américaine”; AMC (France); n°98; 05/1999;
  • ; “On the Mies Edge”; Domus (); n°614; 02/1986;
  • Goldstein B.; “The Entenza Years”; Art and Architecture (Etats-Unis); n°; 1990;
  • ; “”; Architecture d’Aujourd’hui (France); n°; 02-03/1966;

Sur le Case Study Program en général:

  • Mc Coy Esther
  • Smith Elizabeth
  • Architecture d’Aujourd’hui
  • Golstein B.
  • Domus